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Réalisée par Perso94 · 27 févr. 2023 Aide psychologique

Bonjour,
Mon beau-frère me contacte pour m'informer que son fils actuellement âgé de 8 ans accuse mon fils de 12 ans actuellement d'avoir fait des jeux sexuels à l'époque ou il n'avait que 3 ans et mon fils 7 ans.
Je remets dans le contexte l'histoire. Mon fils et le grand frère de petit de 8 ans sont des cousins qui s'entendent très bien. Malheureusement, le petit est très jaloux de cette bonne entente entre son grand frère et mon fils depuis plusieurs années.
Le jour où il a confié ces accusations à sa mère, mon fils et son grand frère étaient partis en week-end anniversaire et du coup il n'était pas venu à cette fête.
Je suis choquée de ces accusations du petit surtout qu'il dit que c'est arrivé 2-3 fois et qu'il jouait ensemble avec mon fils et lui à des jeux sexuels.
J'ai discuté plusieurs fois avec mon fils lui demandant ce qu'il a bien pu arriver pour qu'il dise cela. Mon fils me dit que c'est de la jalousie et qu'il ne veut plus revoir son petit cousin ni son oncle et sa tante car il est horrifié que sa propre famille pense cela de lui. Il se sent sali et n'a plus du tout envie de les revoir de peur d'être méprisé. Il me soutient qu'il n'a rien fait et est triste également car sa très bonne entente avec son cousin risque de disparaitre à cause des accusations du petit de 8 ans.
J'ai discuté avec mon beau frère et ma belle soeur qui accusent directement mon fils. Ils disent qu'il dit la vérité. J'ai beau leur dire que mon fils aussi dit une vérité qu'il faut écouter et que dans ce cas là il faut être prudent sur les dires des enfants. Le petit n'avait que 3 ans à l'époque. Je ne sais plus comment faire. ? J'ai décidé de ne plus donner de contact avec mon beau frère et ma belle le temps de digérer cette situation surtout pour mon fils qui n'a plus d'estime de soi et sent sali par cette histoire.
J'ai besoin de temps pour prendre du temps avec mon fils pour lui expliquer que parfois la famille c'est compliqué mais en même temps mon beau frère n'arrete pas de me contacter pour une confrontation avec son fils et le mien, mais je ne souhaite pas lui faire subir cela surtout qu'il est en pleine adolescence.
Je ne sais pas quoi faire....?

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Meilleure réponse 28 FÉVR. 2023

Bonjour,
Les jeux de découverte du corps dans son intégralité ne sont pas rare chez l'enfant et font partie d'un développement ordinaire. Les termes employés par vous et les adultes de la famille sont "jeux sexuels", et je ne note pas dans votre restitution l'expression symptomatique d'une souffrance traumatique chez le plus jeune participant. A 3 et 7 ans, il n'y a pas de perversion.
Nous ne pouvons pas lire ces comportements et y réagir à la lumière de notre sexualité adulte, pour ensuite la restituer à des enfants. C'est d'ailleurs cela qui fait souffrir votre fils qui, jeune adolescent, dispose d'une plus grande maturité psychosexuelle que son jeune cousin.
Ce qui s'impose avec une plus grande netteté, c'est la dramatisation qu'en font les adultes, allant jusqu'à vouloir imposer une confrontation aux enfants, qui serait à mon sens, bien plus éprouvante. L'utilisation de cet évènement est’elle occasion de régler des comptes entre adultes ? Il serait intéressant d'explorer la qualité de la relation fraternelle de vos neveux, d'en cerner les enjeux. La jalousie du plus jeune à l'égard du lien d'amitié des plus grands s'est peut être déjà manifestée auparavant avec tout autant de vigueur, mais moins de portée. L'accusation à connotation sexuelle est en revanche un levier très puissant, il a le pouvoir de mobiliser l'adulte avec une impressionnante vélocité, tout parent cherchant légitimement à sécuriser son enfant.
Ne m'adressant qu'à vous qui demandez conseil, vous pouvez proposer à votre fils un temps thérapeutique pour lui seul ou il pourra livrer ses éprouvés sans craindre aucun jugement. Aux adultes, je ne peux que suggérer de dépassionner et de recontextualiser les supposés faits, dans le respect de chaque protagoniste à l'âge des faits, et non pas dans l'actuel.
Vous souhaitant un rapide apaisement de la situation,
bien à vous,
Chantal BEICINHO,
Psychanalyste

Chantal Beicinho Psy sur Montpellier

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12 AVRIL 2023

Bonjour
Vous avez raison de ne plus répondre à ses sollicitations permanentes. Vous prenez du recul et c'est une bonne chose
Bien cordialement Inès Avot

Inès Avot Psy sur Ouve-Wirquin

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3 MARS 2023

Bonjour à vous,

Dans votre situation, je proposerais à votre fils de déposer sa tristesse, sa colère, son sentiment d'être sali, trahi, son manque d'estime de lui-même, sa crainte du mépris et du regard de l'autre, l'injustice, la jalousie de son cousin, etc..

En bref, je lui posposerais d'aller dire sa vérité à l'extérieur, pour que ce ne soit plus parole contre parole restreint au cercle familial, mais sa parole propre à dessein réhabiliter sa dignité qui semble très atteinte.

Que pense votre fils de cette proposition ?

Bien à vous,

Karin Walter Psy sur Tours

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1 MARS 2023

Bonjour,
Avant une confrontation, votre fils et vous même, vous avez besoin de recevoir de l'empathie. C'est à dire que vous avez besoin que votre point de vue soit entendu, vos émotions accueillis et vos besoins mis en lumière. Cela vous aidera, d'une part à y voir plus clair dans cette situation, d'autre part à vous sentir plus apaisé-e et libéré-e de cette histoire. Ce n'est quà ce moment là que vous serez en capacité d'entendre leur point de vue et de pouvoir leur donner de l'empathie à leur tour.
Je reste à votre entière disposition pour une consultation en visio. vous pouvez aller voir les commentaires des personnes que j'ai déjà accompagnées pour vous faire une idée de la manière dont je travaille.
Bien cordialement,
Ségolène Hartz

Ségolène Hartz Psy sur Sarrazac

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28 FÉVR. 2023

En tant que psychologue clinicienne, je comprends votre inquiétude face à cette situation difficile. Il est important de prendre en compte les dires des deux enfants et d'essayer de comprendre leur point de vue. Il est également essentiel d'écouter et de soutenir votre fils dans cette situation, car il se sent traîné dans la boue et a besoin de votre soutien pour gérer ses émotions.
Je vous recommande de prendre rendez-vous avec un professionnel de la santé mentale, comme un psychologue clinicien pour discuter de cette situation en profondeur et obtenir des conseils sur la meilleure façon de gérer cette situation en famille. Un psychologue peut vous aider à comprendre les émotions de chacun et à élaborer un plan pour surmonter cette situation.

Je vous suggère également de maintenir une communication ouverte avec votre beau-frère et votre belle-sœur, même si cela peut être difficile. Essayez de leur faire comprendre que votre fils est également affecté par cette situation et qu'il a besoin de temps et de soutien pour surmonter ses émotions. Essayez de trouver un terrain d'entente et de travailler ensemble pour résoudre cette situation de manière constructive.
Enfin, il est important de garder à l'esprit que la vérité peut être difficile à établir dans une telle situation et qu'il est important d'être prudent et respectueux de tous les membres de la famille. En tant que parent, vous êtes le meilleur défenseur de votre enfant et vous devez veiller à ce que ses besoins émotionnels soient satisfaits et qu'il se sente aimé et soutenu.

Je reste à votre disposition si besoin
N'hésitez pas
Bien à vous
Mélanie Maillot,
Psychologue clinicienne et psychothérapeute

Mélanie Maillot Psy sur Saint-Paul (La Réunion)

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28 FÉVR. 2023

Bonjour,

Plusieurs données objectives à prendre avec toute la mesure possible :
- les traces mnésiques avant trois ans sont rares sauf en cas de trauma effectif, lorsque le corps ou le psychisme a été effracté
- les jeux sexuels de l'enfance ne sont pas les jeux sexuels de l'adulte et je vous invite à rester dans le mesure de la perception de l'enfance, ne pas imaginer ou prêter des intentions qui peuvent celles de la découverte sexuelle non genrée à cet âge là, plus une découverte des corps

Ceci dit, il est possible que cet enfant ait eu des gestes envers l'autre enfant. L'attitude de tous ici semble de punir, de condamner, de faire réparation et de diviser. Pourquoi ?
Il est légitime de vouloir protéger son enfant de toute intrusion. La première intention sera toujours de croire son enfant au détriment de l'autre. Il est légitime de vouloir défendre son enfant contre d'éventuelles accusations.

Ceci dit, la vérité ici n'est pas la vérité des adultes. La vérité ici est réelle du point de vue des deux enfants car il s'agit de réalité psychique avec des perceptions d'enfants.

Je vous enjoins à beaucoup de douceur de part et d'autre. La discussion, médiatisée au besoin, est nécessaire pour comprendre mais aussi pour apaiser au risque que celui qui aurait dit plus qu'une vraie réalité, se sente coupable et enfermé dans son mensonge sans aucune possibilité d'en sortir puisque tout a dégénéré par sa faute (je ne mentionne aucun des deux enfants ici).

L'enfant peut se sentir coupable d'avoir eu envie de faire quelque chose de l'ordre de la découverte ou quelque chose d'interdit punissable qu'il ne peut plus avouer.

Ne condamnez pas ni l'un ni l'autre quoi qu'il ait été fait, il s'agit d'enfant et une éducation est à prodiguer sur le respect de l'autre, de son corps, de son consentement mais aussi sur la normalité d'avoir envie de découvrir son corps et le corps de l'autre afin de ne pas stigmatiser une curiosité en quelque chose de malsain qui endommagerait la future sexualité.

Donc beaucoup de prudence, beaucoup de bienveillance et moins de conflictualité entre les parents pour l'intérêt des deux enfants ici.

Je ne crois pas que la confrontation soit possible immédiatement et le mot est trop dur. Ils sont trop petits pour cela. Mais une médiation, deux rendez vous individuels avec un-e thérapeute pourrait faire avancer choses sans les envenimer.

Bien à vous,

Dalila Nourdin

Dalila Nourdin Psy sur Lyon

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28 FÉVR. 2023

Bonjour,

Plusieurs données objectives à prendre avec toute la mesure possible :
- les traces mnésiques avant trois ans sont rares sauf en cas de trauma effectif, lorsque le corps ou le psychisme a été effracté
- les jeux sexuels de l'enfance ne sont pas les jeux sexuels de l'adulte et je vous invite à rester dans le mesure de la perception de l'enfance, ne pas imaginer ou prêter des intentions qui peuvent être celles de la découverte sexuelle non genrée à cet âge là, plus une découverte des corps

Ceci dit, il est possible que cet enfant ait eu des gestes envers l'autre enfant ou qu'ils aient convenu ensemble de cela. L'attitude de tous ici semble de punir, de condamner, de faire réparation et de diviser. Pourquoi ?
Il est légitime de vouloir protéger son enfant de toute intrusion. La première intention sera toujours de croire son enfant au détriment de l'autre. Il est légitime de vouloir défendre son enfant contre d'éventuelles accusations.

Ceci dit, la vérité ici n'est pas la vérité des adultes. La vérité ici est réelle du point de vue des deux enfants car il s'agit de réalité psychique avec des perceptions d'enfants.

Je vous enjoins à beaucoup de douceur de part et d'autre. La discussion, médiatisée au besoin, est nécessaire pour comprendre mais aussi pour apaiser au risque que celui qui aurait dit plus qu'une vraie réalité, se sente coupable et enfermé dans son mensonge sans aucune possibilité d'en sortir puisque tout a dégénéré par sa faute (je ne mentionne aucun des deux enfantsen particulier ici).

L'enfant peut se sentir coupable d'avoir eu envie de faire quelque chose de l'ordre de la découverte ou quelque chose d'interdit punissable qu'il ne peut plus avouer.

Ne condamnez pas ni l'un ni l'autre quoi qu'il ait été fait, il s'agit d'enfant et une éducation est à prodiguer sur le respect de l'autre, de son corps, de son consentement mais aussi sur la normalité d'avoir envie de découvrir son corps et le corps de l'autre afin de ne pas stigmatiser une curiosité en quelque chose de malsain qui endommagerait la future sexualité.

Donc beaucoup de prudence, beaucoup de bienveillance et moins de conflictualité entre les parents pour l'intérêt des deux enfants ici.

Je ne crois pas que la confrontation soit possible immédiatement et le mot est trop dur. Ils sont trop petits pour cela. Mais une médiation, deux rendez vous individuels avec un-e thérapeute pourrait faire avancer les choses sans les envenimer.

Bien à vous,

Dalila Nourdin

Dalila Nourdin Psy sur Lyon

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28 FÉVR. 2023

Bonjour,
Tout d'abord, il serait de bon de rappeler que les jeux sexuels chez les enfants sont très courants et parfaitement normaux. À l'âge où les faits se sont produits, le petit âgé de 3 ans entrait dans la période dite du complexe d'Oedipe, à ce titre, les parties génitales se sont "réveillées" et interrogent les enfants, les jeux sont alors un bon moyen d'explorer le corps. Votre fils avait 7 ans au moment des faits, le complexe d'Oedipe étant passé et plus ou moins bien digéré, il se peut que sa vie pulsionnelle "sexuelle" soit disant latente à cet âge de la vie, n'était pas tout à fait refoulée. Ainsi, la curiosité propre des enfants de l'école primaire peut aussi se porter sur ce monde assez obscur de la sexualité.
Il serait important, de remettre tout cela dans leur contexte, afin de ne pas traumatiser la notion de la sexualité.
Concernant votre fils, il faut lui expliquer afin de le déculpabiliser avec le vocabulaire adapté de son âge même si ce dernier est un adolescent en devenir, que la sexualité est une aventure qui commence tôt, par la découverte de son corps et aux plaisirs associés (il ne faut pas entendre la sexualité comme nous la confondons avec une sexualité adulte génitale.), elle ne sera pleinement mature qu'à la fin de l'adolescence, alors qu'il commence probablement sa puberté, il est important de le rassurer dans ces changements.
Il serait, à mon sens, beaucoup plus intéressant de s'interroger sur cette jalousie du petit cousin, afin de démêler les problématiques sous-jacentes. Il est important d'écouter la parole des enfants, il faut aussi savoir remettre ces dernières dans leur contexte.
Il est tout à fait normal que vous ayez besoin de digérer tout cela.
Je reste à votre entière disposition, n'hésitez pas, je consulte également en ligne.
Bien à vous,

Mélodie Constant
Thérapeute spécialisée, Sexothérapeute, Coach en Guidance Parentale

Mélodie Constant Psy sur L'Isle-sur-la-Sorgue

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28 FÉVR. 2023

Bonjour,

C’est en effet une situation complexe. Il est toujours difficile de comprendre exactement où se trouve la vérité. De votre côté, vous avez tendance à croire votre fils. Dans l’autre famille, ils pensent que c’est leur fils qui dit la vérité. Toutefois, si votre fils et son grand cousin étaient complices aussi à l’époque des faits, il est étonnant que ce dernier n’ait rien vu.
Quoi qu’il en soit, si votre fils se questionne ou souffre de cette situation, n’hésitez pas à lui proposer de consulter un professionnel qui saura l’aider dans cette situation.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N'hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma pratique en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
_______________________________
Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Christophe Nieaux Psy sur Melun

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28 FÉVR. 2023

Bonjour Madame,

Effectivement vous avez déjà posté votre question, et presque toutes les réponses que vous avez eu allait dans le même sens : il faudrait confronter les enfants, mais si chacun des parents veut croire que le sien dit la vérité et l’autre ment vous risquez de vous disputer plus qu’autre chose.

L’idéal serait d’aller tous dans le cabinet d’un-e psy qui a l’habitude de traiter ce genre de sujet très délicat.

Quelque soit le degré de jalousie du petit vis à vis de la bonne relation des grands, ceci ne peut pas expliquer le genre de supposé mensonge qu’il aurait inventé : un abus sexuel ne peut pas être sorti de nulle part…

Pour agir de façon responsable par rapport à ce sujet allez vous même avec le père de votre fils pour parler à un-e thérapeute familial-e pour sortir du déni et accepter la confrontation des deux (trois ?) garçons : ce n’est que comme cela que vous pouvez aider votre fils à grandir sainement.

Ensuite, quelques séances chez un pédopsychiatre ou autre psychothérapeute seront probablement nécessaires pour calmer l’esprit de chaque enfant, qu’il ait menti ou pas.

Bon courage à vous pour ne plus éviter de connaître la vérité, qui peut être différente de ce que vous dit votre fils.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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28 FÉVR. 2023


Bonjour,

Vous avez déjà posté à ce sujet il y a 3 jours et voici la réponse que je vous avais faite et que je vous invite à relire. J'insiste sur la nécessité de rencontrer les parents pour discuter ensemble, en étant accompagnés par un-e thérapeute ou médiateur si besoin.

Un enfant de 8 ans ne peut pas inventer les attouchements qu'il a subit. Par contre il est possible qu'il accuse votre fils alors que c'est un autre garçon qui serait en cause.
Il est possible aussi qu'il dise la vérité et que votre fils s'enferme dans le mensonge par honte ou parce qu'il a lui-même subit des attouchements dont il ne vous a pas parlé.

Vous évoquez le "grand frère" de votre neveu, qui est-il, quel âge a t'il ?

Dans tous les cas la confrontation est nécessaire. Cela libérera tout le monde.
Je vous invite dans un premier temps à vous rencontrer entre adultes afin de discuter calmement, faire retomber la colère et préparer la confrontation des enfants dans un deuxième temps.

C'est peut-être aussi le début d'une guérison plus large au niveau familial. Rien n'arrive par hasard, si vous remontez à la génération précédente, la votre, y aurait-il déjà eu des attouchements, violences ou traumatismes restés profondément enfouis ?

Je reste à votre disposition pour vous accompagner dans ce processus de communication et de guérison si vous souhaitez.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute

Claire Thomas Psy sur La Chapelle-Caro

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