Pas de sommeil

Réalisée par Fleurs · 24 avril 2023 Aide psychologique

Bonjour, j'ai ma soeur de 54 ans qui avait un cancer du sein l'année dernière suivi de la radiothérapie.
Depuis sa chimiothérapie, elle n'a plus de sommeil. Elle est fatiguée mais n'arrive plus à s'endormir. Aussi son oncologue l'a mise sans anxiolytiques en augmentant tout le temps les doses, car le corps s'habituait à chaque nlle dose. Aussi depuis 1 an, elle prend la dose maximale d'anxiolytique et n'arrive plus à tomber dans le sommeil.
Sa psychiatre lui a rajouté un medicament pour la nuit (une sorte d'anesthésiant), elle dort superficiellement mais à une tête fracassée en journée et plus de goût et d'appétit (elle a perdu plus que 10kgs).
Elle souhaite arrêter ce médicament ainsi que les anxiolytiques afin de retrouver une tête normale en journée et pouvoir reprendre son travail.
Comment doit-elle faire ?
La psychiatre est persuadée qu'elle doit continuer ce traitement.
Mais ma soeur a l'impression qu'en journée elle a les neurones bloquées.
Comment faire ?

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Meilleure réponse 25 AVRIL 2023

Bonjour,

Les anxiolytiques ne doivent pas être pris trop longtemps parce que justement ils créent une sorte d'addiction avec nécessité d'augmenter les doses.

Nous ne pouvons pas ici donner des conseils sur la médication, puisque nous ne sommes pas des médecins...
Mais dans une situation comme celle de votre soeur il aurait fallu qu'elle suive une psychothérapie dès le début de sa maladie, pour justement calmer ainsi ses angoisses (naturelles dans son état) et lutter plus sereinement contre sa maladie.

Dans l'immédiat quelques séances de sophrologie peuvent l'aider à apprendre à se détendre.
La méditation peut aussi avoir des effets bénéfiques sur son moral et son sommeil.
Le sport aussi : qu'elle n'hésite pas à faire au moins de la marche.

Pour ce qui est du goût et de l'appétit... ça peut être une conséquence des traitements du cancer, ou d'une forme de déprime installée.
Et puis... peut être qu'elle peut obtenir l'avis d'un-e autre psychiatre ?!

Je vous souhaite de pouvoir aidé votre soeur à aller bien.
sp



Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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25 AVRIL 2023

Bonjour, Je suis désolé d'apprendre les difficultés que votre sœur rencontre suite à son traitement contre le cancer. Il est compréhensible qu'elle veuille trouver une solution pour retrouver un sommeil naturel et une tête plus claire en journée.

Cependant, il est important que votre sœur ne modifie pas son traitement sans en parler à son oncologue ou à sa psychiatre. Les anxiolytiques et les médicaments pour le sommeil sont souvent prescrits pour une utilisation à court terme et peuvent être difficiles à arrêter. Les médecins peuvent recommander une réduction progressive de la dose afin d'éviter des effets secondaires et de prévenir les symptômes de sevrage.

Je vous suggère donc de conseiller à votre sœur de discuter avec son oncologue et sa psychiatre des effets secondaires qu'elle éprouve, de ses préoccupations et de ses souhaits. Ils pourront alors revoir son traitement et envisager des options alternatives pour aider à soulager son anxiété et améliorer son sommeil.

Il est également important de rappeler à votre sœur que les troubles du sommeil et l'anxiété sont souvent liés à l'expérience d'un cancer et peuvent nécessiter une approche multidisciplinaire. Elle peut donc bénéficier de parler à un thérapeute spécialisé dans la gestion du stress et des troubles du sommeil pour l'aider à trouver des stratégies non médicamenteuses pour gérer son anxiété et améliorer son sommeil.

Dans tous les cas, il est important de ne pas arrêter ou modifier un traitement sans l'avis d'un médecin ou d'un professionnel de la santé qualifié.

Lorenzo Perucchi

Lorenzo Perucchi Psy sur Montpellier

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25 AVRIL 2023

si elle veut arrêter, elle arrête tout simplement.

Elle n'est pas obligé de faire quoi que ce soit.

Arnaud Soto Psy sur Juillan

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25 AVRIL 2023

Tout d’abord, merci pour votre partage.
Votre démarche est touchante, cependant, votre sœur est elle ok avec cette démarche ? Assurez vous en ou encouragez là à le faire par elle même...

En attendant, en effet, les traitements, surtout la chimio, mais la maladie en elle même, affectent facilement le sommeil et l’endormissement.

La maladie, parce qu’elle chamboule complétement notre mental et notre existence sur divers plans.
La chimio, parce qu’elle affecte chimiquement notre organisme et le déstabilise sur divers plans aussi.

Généralement, plusieurs solutions d’aide sont proposées aux patients suivis en oncologie.
Les approches alternatives peuvent être d’un grand soutien et sont dénuées d’effet abrutissant :
acupuncture, hypnose par exemple qui ont de très bons résultats sur la qualité du sommeil et de l’endormissement, mais aussi la méditation, la sophrologie, certaines plantes aidantes aussi…

Il est vrai que les équipes d'oncologie sont plus ou moins ouvertes à cela, mais chaque patient reste libre d’aller vers ces solutions en parallèle du suivi d'oncologie.
Seule la prise de plantes est délicate, car certaines vont en interaction ou hyper-réaction avec la chimiothérapie…
Pour les autres techniques alternatives, rien n’empêche de les essayer, tout d’abord en parallèle du traitement du psychiatre, puis selon l’amélioration, le traitement du psychiatre pourra être diminué avec son accord, jusqu’à complet arrêt, toujours avec son accord.

En tout état de cause, les chose s’améliore et se régularisent d’elle même quand le corps se nettoie petit à petit des substance qu’il a reçu.

Du coté du mental, la méditation, le partage avec d’autres patients et l’écoute psychologique sont vraiment d’une grande aide pendant et après ce parcours de soin éprouvant. Vous pouvez chaleureusement encourager votre sœur dans ce sens.

Bien cordialement
Isabelle Bayard

Isabelle Bayard Psy sur Mieussy

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25 AVRIL 2023

Bonjour Fleurs,

C'est compréhensible que votre soeur aye envie d'arrêter ces traitements, c'est le problème des traitements médicamenteux d'aujourd'hui, qui enferme les patients dans un cercle vicieux et qui empêche le patient de vivre normalement.

Cependant je vous conseille vivement de vous tourner vers le psychiatre ainsi que vers l'oncologue afin de les prévenir de ces effets non désirables, et de faire diminuer petit à petit la dose (sevrage) surtout si ce sont des benzodiazépines généralement prescrites en cas d'insomnie et d'anxiété.
Parfois les patients n'osent pas, mais vous êtes libre de demander des deuxièmes avis vers un autre psychiatre ou oncologue. Vous pouvez aussi vous tourner vers les centres du sommeil.

Il est très fréquent que les traitements de chimiothérapie crée des troubles du sommeil, et qu'à cela s'ajoute l'angoisse, l'anxiété, stress de la maladie ou des douleurs.

Aujourd'hui il existe plusieurs traitement non-médicamenteux qu'elle peut essayer comme la méditation, l'hypnose, l'acupuncture mais surtout exercer une activité physique qui lui plaît pour permettre de libérer des hormones naturelle afin de mieux dormir.

La psychothérapie peut aussi l'aider à traiter la cause de cette anxiété ou des troubles du sommeil, et retrouver une meilleure qualité de vie.

Courage à vous et à votre soeur !
Chloé Raymond - Psychopraticienne














Chloé Raymond Psy sur Pertuis

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25 AVRIL 2023

Bonjour,
Votre soeur a raison de s'interroger sur les bienfaits de ces traitements.
Votre soeur a eu un cancer du sein suivi d'une radiothérapie, ce qui laisse des impacts émotionnels importants, et qui amène un trouble du sommeil.

Un anxiolytique est un médicament à prendre avec beaucoup de précaution et jamais sur une longue durée, pas plus de 15 jours max. La continuité d'un anxiolytique devient une drogue toxique qui peut entrainer des effets secondaires...
Quant au traitement du psychiatre, j'ai du mal à comprendre cet acharnement médicamenteux.
Il existe des approches thérapeutiques efficaces pour traiter les traumas et les conséquences (voir mon profil).

Encouragez votre soeur à consulter un(e) thérapeute avec une approche clinique intégrative comme la mienne.

Cordialement
Hypnothérapeute clinique - Thérapie intégrative & holistique

Nathalie Follmann Psy sur Clichy

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25 AVRIL 2023

Il est toujours délicat de répondre aux questions concernant un tiers car même si vous êtes factuelle dans vos énoncés précis et clairs, vous parlez pour votre sœur.
Ainsi, bien évidemment, votre sœur peut prendre ses dispositions pour évoquer tout cela avec le corps médical qui connait son historique donc psychiatre et oncologue. Peut elle nommer facilement sa déroute, ses sensations à l'endormissement, ses ressentis au réveil ? Votre position est celle du soutien et de l'accompagnement que l'on entend en plus de votre souci pour elle.

Il est un temps pour la bataille, un temps pour l'ajustement et la réadaptation, un temps pour le retour à l'ordinaire.
Le rythme est celui du pas à pas. Ainsi, l'hygiène globale est à privilégier : puiser les ressources dans une alimentation saine et adaptée à des heures régulières, sortir faire le plein de vitamine D et un peu d'exercice pour re-caler ainsi, grâce à la lumière du jour, son rythme circadien, adopter une heure de réveil et de coucher régulière et enfin ne pas sous-estimer la force du lien social.

Je trouve le système des objectifs intéressants : 5 minutes de lecture par jour, 15 minutes de marche par jour, etc
Les objectifs sont petits et atteignables et souvent dépassés très rapidement mais sans pression.

Son corps a besoin de se retrouver et elle de le retrouver, se le réapproprier avec sa nouveauté, ses modifications à accepter.

Le sommeil peut aussi être angoissant lorsque l'on a eu peur pour sa vie. La symbolique peut être anxiogène. La micro sieste peut aider à ressourcer le corps et l'esprit englué par la médication.

Psychiatre et oncologue ont certainement stipulé à votre sœur qu'un traitement ne s'arrête pas du jour au lendemain, un process de sevrage doit s'opérer. Nous avons une médecine magnifique et des soignants compétents et dévoués.

Le dialogue est à amorcer avec ces sachants pour trouver la meilleure solution, lente et douce.

Votre sœur par votre intermédiaire peut également rencontrer des associations et groupes de parole de femmes ayant vécu la même expérience et ainsi en faire le partage notamment dans le post-op, la rémission, la récupération.

Bien à vous,

Dalila Nourdin

Dalila Nourdin Psy sur Lyon

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25 AVRIL 2023

Bonjour,

Il est étonnant que le médecin ait maintenu un traitement anxiolytique aussi longtemps, ce qui n'est pas recommandé. les anxiolytiques sont à prendre sur des périodes courtes ou bien à la demande. On les prescrit aussi en attendant les effets d'un traitement antidépresseur. Attention que les anxiolytiques génèrent de l'accoutumance contrairement aux antidépresseurs. Votre soeur semble être là dans un cycle un peu infernal d'augmentation des doses.
Il est normal et fatal qu'avec un tel dosage elle ait l'esprit encombré dans la journée. Et ce d'autant que si elles pouvaient retravailler cela serait favorable à la diminution de ses angoisses.
Sans être médecin je pense qu'il faudrait probablement diminuer très progressivement les anxiolytiques, éventuellement mettre en place un traitement antidépresseur compensateur. Parallèlement il faudrait que votre soeur fasse beaucoup d'exercices physiques notamment une dizaine de minutes chaque soir au pied du lit. Ce serait bien également qu'elle puisse être accompagnée dans le cadre d'un suivi psychothérapeutique pour pouvoir un peu partager ce qui l'angoisse et envisager le plus rapidement possible une reprise du travail, ne serait-ce qu'à mi-temps thérapeutique.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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25 AVRIL 2023

Bonjour.

Il est tout à fait normal d'avoir du mal à retrouver le sommeil après ces périodes de grande angoisse, les interventions chirurgicale, la chimiothérapie.
Votre soeur est mise sous traitement médicamenteux pour pallier à cela, mais ne retrouve pas le sommeil et reste très fatiguée la journée.

Il est important qu'elle en discute en priorité avec ses médecins. Il est vraiment déconseillé d’arrêter un traitement d'anxiolytiques ou d'anti dépresseur sans passer par des paliers pour permettre au corps de s'en déshabituer, et afin de ne pas avoir d'effets rebonds. Son psychiatre pourra lui prescrire les doses adéquates .

Cependant, il est très probable qu'après ce qu'elle a vécu, votre mère soit sujette à des angoisses importantes sur sa santé, son devenir, et aussi celui de sa famille, lui créant l’impossibilité de s'endormir par hypervigilance, et sûrement des ruminations.

Dans un premier temps bien sur elle peut mettre en place une hygiène de comportement pour favoriser son endormissement
-sortir de chez elle, de son cercle habituel, rencontrer du monde tous les jours pour changer ses habitudes et avoir des échanges positifs, gais
-avoir une activité physique régulière en journée
-s'occuper en participant à des associations par exemple
-Apprendre à canaliser ses pensées par la méditation de pleine conscience par exemple, le yoga
- Eviter de dormir la journée et faire une courte sieste en début d'après midi
- Etablir des rituels d'endormissement , éviter la chambre et le lit en journée pour créer des ancrages
- Faire attention aux lumières et appareils électriques dans la chambre.

Au-delà parler de ce qui est en arrière plan dans ses pensées, conscientes ou inconscientes lui permettra de retrouver la sérénité nécessaire au sommeil. Un accompagnement thérapeutique lui sera alors d'un grand secours. Elle peut faire cela avec un thérapeute avec qui elle se sentira en confiance, soit dans votre secteur , soit en visio .

Le problème de sommeil de votre sœur est solutionable sans aucun doute. Il lui reste à faire le pas.
C'est vous qui avez fait la démarche ici, a-t'elle l'envie de suivre vos pas ?

Avec toute ma bienveillance
----Olga SERO-GUILLAUME----
NEURACOSME
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---



Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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25 AVRIL 2023

Il est compréhensible que votre sœur veuille arrêter de prendre les anxiolytiques et le médicament de nuit, étant donné les effets secondaires qu'elle a ressentis. Cependant, l'arrêt brutal d'un médicament peut être dangereux et peut entraîner des symptômes de sevrage, notamment un rebond d'anxiété et d'insomnie.

Je recommanderais à votre sœur de consulter son psychiatre pour discuter de ses inquiétudes concernant les médicaments et explorer d'autres options qui pourraient l'aider à mieux dormir sans les effets secondaires négatifs. Il peut s'agir d'une thérapie cognitivo-comportementale pour l'insomnie, de techniques de relaxation et de stratégies d'hygiène du sommeil.

En outre, il peut être utile pour votre sœur de parler avec un thérapeute. Elle pourra ainsi bénéficier d'un soutien émotionnel et de stratégies d'adaptation pour faire face aux défis du cancer et de son traitement.

Dans l'ensemble, il est important d'adopter une approche holistique des soins de votre sœur et de donner la priorité à son bien-être physique et émotionnel. Cela peut impliquer une combinaison de stratégies médicamenteuses et non médicamenteuses, ainsi qu'une communication continue avec ses prestataires de soins de santé.

Lorena Salthu Psy sur Paris

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25 AVRIL 2023

Bonjour Fleur,
Je comprends que la situation de votre sœur est difficile et qu'elle souhaite arrêter les médicaments qu'elle prend pour pouvoir retrouver une vie normale. Cependant, il est important de souligner qu'arrêter brutalement les médicaments peut être dangereux, surtout si votre sœur prend des anxiolytiques depuis longtemps et à des doses élevées.

Je vous recommande vivement d'encourager votre sœur à parler à son oncologue et à sa psychiatre de ses préoccupations et de ses symptômes. Ils pourront évaluer sa situation médicale et déterminer si un changement de traitement est nécessaire. Si elle souhaite arrêter les médicaments, ils pourront également l'aider à le faire de manière progressive et sécuritaire, en réduisant progressivement les doses et en surveillant les effets secondaires potentiels.

Il est utile que votre sœur soit honnête avec son équipe médicale sur ses symptômes et ses préoccupations, afin qu'ils puissent lui offrir les meilleurs soins possibles. Il est également important de souligner que la prise de médicaments pour l'anxiété et le sommeil peut être nécessaire dans certaines situations, donc il est recommandé que votre sœur travaille en étroite collaboration avec son équipe pour trouver les meilleures options pour elle.

Enfin, il peut être utile pour votre sœur de considérer des options de soutien supplémentaires, comme la thérapie ou la méditation, pour l'aider à faire face à l'anxiété et au stress, l hypnose peux être un moyen de retrouver le sommeil , Ces approches peuvent être utilisées conjointement avec les médicaments, et peuvent aider à améliorer la qualité de vie et la santé mentale de votre sœur.
N hésitez pas si besoin excellente journée !
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
PNL, EMDR
En visio et presentiel

Thalia Inna Psy sur Bordeaux

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