Besoin de mot pour définir mon état et orientation

Bonjour,
Je vois clairement la blessure de rejet, contractée dans vote enfance et qui continue de se réactive aujourd'hui. Vous la masquez par l'alcool mais vous voyez que c'est bien éphémère, sans compter les effets délétères de l'addiction à ce produit.
Il existe d'autres moyens de sortir de votre souffrance : guérir vos blessures d'origine, apprendre à vous accepter, vous aimer, vous affirmer mais pour cela il faut que vous soyez aidée par un professionnel.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Ivanna,

ce que vous posez ici est effectivement très difficile et oser demander de l'aide est une forme de courage, cela démontre votre volonté de vous en sortir.

Lorsque l'environnement est trop toxique et vous entraîne à sombrer dans une addiction, il me semble que la première chose que vous pourriez faire serait de prendre des distances afin de vous protéger. En état de fragilité, on ne se sent plus en capacité de répondre et de réagir face à un environnement toxique. Vous décrivez également des symptômes qui se reportent sur votre corps (tremblements, migraines, état anxieux...), c'est un mécanisme de défense que vous avez mis en place inconsciemment pour protéger votre psychisme des agressions extérieures. En coupant les sources de stress, vous verrez les symptômes diminuer...

Quand à la dépendance à l'alcool, c'est également le moyen actuel que vous avez trouvé pour gérer la situation, et à la longue, cette dépendance va devenir de plus en plus lourde à supporter si vous n'y prenez pas garde. Il existe des centres d'addictologie (CSAPA) dans chaque département qui vous aident à sortir de la dépendance, avec des prises en charge à la fois sur le plan médical et sur le plan psy.

Si vous avez réussi à envoyer cette bouteille à la mer, c'est qu'il vous reste de l'énergie pour vous diriger vers une prise en charge adaptée. A vous de décider ce qui paraît le plus urgent à traiter : psychiatre (médecin du psychisme), psychologue (prise en charge psy), CSAPA (centre d'addictologie pluridisciplinaire), et une fois que vous aurez un peu remonté la pente, une psychothérapie classique ou intégrative (plusieurs outils de thérapie brèves) me semble tout à fait indiquées pour vous permettre d'aller mieux.

Bien à vous,
Mylène Le Cornu

Psychopraticienne
Hypnothérapeute
Aide à la parentalité
PNL

Bonjour Ivanna !
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Je suis désolé d’apprendre que vous vivez actuellement des choses aussi difficiles à vivre.
Vous êtes en effet victime d’un environnement familial toxique avec des parents malheureusement défaillants dont le devoir était de vous protéger des critiques de vos frères et sœurs et de vous offrir un environnement suffisamment sécurisant pour vous épanouir.

Il est tout à fait compréhensible de vouloir s’évader d’un tel environnement mortifère, malheureusement l’alcool n'est jamais la solution même si l’alcool donne dans un premier temps une sensation de chaleur et de réconfort. Les solutions à court terme sont rarement les meilleurs.

Les tremblements que vous décrivez et les sensations de froid sont des symptômes certainement liés à votre addiction mais aussi très probablement à des manifestations symboliques de votre vie psychique.
Les tremblements renvoient certainement à une insécurité profonde à laquelle vous avez été confrontée étant enfant quant à la sensation de froid, elle est souvent l’expression physique d’une sensation psychique de manque de chaleur affective.

Vous croyant sans doute inconsciemment fautive de ce manque d’affection, il est fort probable que vous adoptiez des comportements masochistes d’autodestruction : prise d’alcool , auto-mutiliation, et autres car il faut bien que votre souffrance s’exprime d’une manière ou d’une autre.

Concernant votre état, vous présentez sans nul doute plusieurs symptômes de la dépression : migraine, anxiété, angoisse, idées sombre, perte du goût de la vie et peut-être parfois des idées suicidaires.

Je pense qu’il est pour vous à la fois important mais aussi urgent de consulter un professionnel en vous tournant, soit vers votre médecin de famille, soit vers un psychiatre qui vous aidera à gérer votre addiction., mais aussi vers un thérapeute bienveillant et chaleureux qui saura vous offrir un cadre sécurisant d’écoute ou vous pourrez vous sentir enfin comprise et acceptée et peut être vous aider à trouver des solutions pour quitter cet environnement toxique pour vous.

Psychanalyste et psychosomaticien, je me tiens à votre disposition si vous le désirez pour vous accompagner sur ce chemin de reconstruction.

Je consulte à Lyon en présentiel, en téléconférence (visio,) par téléphone et même par courriel.
Vous pouvez également consulter mon site pour en savoir un peu plus sur moi.

Le prix de la consultation indiquée est à titre indicatif et j’adapte habituellement le prix des séances en fonction des ressources des patients.

Prenez soin de vous.

Jean-Frédéric Blanchard
Psychanalyste et psychosomaticien.

Je suis désolée d'apprendre les difficultés que vous rencontrez. Il est clair que vous avez subi des traumatismes importants tout au long de votre vie, ce qui a entraîné divers symptômes émotionnels et physiques. Il faut du courage pour tendre la main et demander de l'aide.

Compte tenu de la complexité de votre situation et de la gravité de vos symptômes, je vous recommande de demander l'aide d'un thérapeute spécialisé dans les traumatismes et les dépendances. Ils peuvent vous offrir un environnement sûr et favorable pour explorer et traiter vos expériences passées, et vous aider à développer des mécanismes d'adaptation plus sains.

La psychothérapie peut être bénéfique pour traiter les causes sous-jacentes de vos difficultés actuelles et soutenir votre processus de guérison. Il est important de trouver un thérapeute avec lequel vous vous sentez à l'aise et qui est spécialisé dans les questions liées aux traumatismes. Il peut travailler avec vous pour identifier des schémas, comprendre l'impact de vos expériences d'enfance et vous aider à développer des moyens plus sains de gérer le stress et les émotions.

N'oubliez pas que la guérison prend du temps et qu'il s'agit d'un parcours qui exige de l'engagement et de l'auto-compassion. Avec le soutien adéquat, il est possible d'aller de l'avant, de laisser le passé derrière soi et de se construire une vie plus épanouissante et plus significative. N'hésitez pas à contacter un professionnel de la santé mentale qui pourra vous guider sur ce chemin.

Bonjour Yvanna,

Je ne sais pas quel âge vous avez ni pourquoi vous semblez encore vivre proche de votre famille.
Au stade où vous en êtes et étant donné votre addiction il faudrait contacter un psychiatre qui vous proposera peut-être une hospitalisation pour résoudre votre addiction et, probablement aussi, vous éloigner de votre milieu toxique.
Il semble impératif de créer un éloignement mais vous avez besoin d'aide.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Bonjour Yvanna,

Ce que vous vivez dans votre famille est inadmissible : vos parents n’ont pas su vous protéger contre les moqueries de votre fratrie ?! Vous êtes prise en grippe par tous ?!

Votre détresse est terrible et votre volonté de vous en sortir est ce qui va vous aider à le faire.

Commencez par parler de votre état physique et psychique avec votre médecin traitant ou un médecin psychiatre : il me semble que prendre pendant quelque temps un antidépresseur vous aidera à vous sentir moins « fragile » et aussi à pouvoir arrêter l’alcool, auquel vous êtes devenue dépendante, ce qui risque de détruire votre santé.

Allez aussi demander une psychothérapie dans le CMP de votre lieu d’habitation : il y un délai d’attente, mais c’est gratuit. Et vous avez bien besoin d’être accompagnée pour quitter votre état actuel de détresse psychologique.


Il faut vous faire aider par tous ceux qui sont bienveillants avec vous, et sortir de votre isolement actuel.
Faites du sport : c’est difficile de vous mobiliser au début, mais quand vous sentirez les premiers effets positifs vous allez continuer. La course à pieds, la randonnée vous feront le plus grand bien (et ça ne coûte pas de l’argent…).

Je vous souhaite d’arriver à dépasser tous vos problèmes actuels, gagner en confiance en vous et vous affirmer pour réussir à vous sentir bien dans votre vie.
sp

Je suis vraiment désolé d'apprendre ce que vous avez traversé et les difficultés auxquelles vous êtes confronté. Il est important de chercher de l'aide et du soutien pour vous aider à faire face à vos traumatismes et à votre dépendance à l'alcool.

Je vous encourage vivement à consulter un thérapeute, qui pourra vous aider à travailler sur vos traumatismes passés, à développer des mécanismes de gestion du stress et à vous aider à surmonter votre dépendance à l'alcool. Ils peuvent vous fournir un soutien et des outils adaptés à votre situation.

Parlez à votre médecin de famille ou à votre professionnel de la santé pour obtenir une référence appropriée vers un spécialiste. Ils pourront vous orienter vers la meilleure ressource pour vous.

En attendant de consulter un professionnel, il y a certaines choses que vous pouvez faire pour prendre soin de vous :

-Trouvez un soutien. Essayez de vous entourer de personnes bienveillantes qui vous comprennent et vous soutiennent. Vous pouvez envisager de rejoindre des groupes de soutien ou de chercher des communautés en ligne qui partagent des expériences similaires.

- Prenez soin de votre bien-être physique. Assurez-vous de prendre soin de votre corps en adoptant une alimentation équilibrée, en faisant de l'exercice régulièrement et en essayant de dormir suffisamment. Ces aspects peuvent contribuer à votre bien-être global.

- Trouvez des activités positives. Essayez d'explorer des activités qui vous procurent de la joie et de l'évasion, sans avoir recours à l'alcool. Cela peut inclure des loisirs créatifs, du sport, de la lecture, de la musique ou tout ce qui vous intéresse.

- Évitez l'isolement. Faites de votre mieux pour rester connecté avec les autres, même si cela peut être difficile. Cherchez des occasions de socialiser, même si c'est en ligne ou par le biais de groupes de soutien. Le fait d'avoir des contacts sociaux positifs peut vous aider à vous sentir moins seul.

Rappelez-vous qu'il est important de demander de l'aide et de ne pas vous blâmer pour les difficultés auxquelles vous êtes confronté. Vous méritez du soutien et de l'aide pour surmonter ces épreuves.