Même avant je n'avais pas de place dans ma famille plusieurs membres fourbes et superficiels.
Je n'ai jamais était défendu par ma mère qui a elle même fait de la psychiatrie n'a pas su se faire respecter auprès des autres, j'ai l'impression qu'elle est comme une sœur pour moi aujourd'hui.
Je suis la dernière de ma famille de 6 enfants, 3 sœurs et deux frères, je travaille, j'ai 24 ans, mon appartement même avec cela ma seule famille sont mes amis.
Que faire, pour me construire au mieux, car j'avance avec douleurs.
Réponse envoyée
Nous validerons bientôt votre réponse pour ensuite la publier
Une erreur s'est produite
Merci de réessayer plus tard
Réservez un rendez-vous immédiat en ligne pour 49 €
Obtenez une aide psychologique en moins de 72 heures avec des professionnels en choisissant le créneau horaire qui vous convient le mieux.
Meilleure réponse
22 NOV. 2018
· Cette réponse a été utile à 5 personnes
Bonjour,
Vous évoquez en premier votre père, son décès... était ce la seule personne qui comptait à vos yeux, qui vous donnait une place au milieu des « fourbes » ? Serait-ce ce deuil que vous n′arrivez pas à effectuer ?
Votre mère est comme une sœur, autrement dit vous ne pouvez y trouver la présence, le réconfort que l′on attend d′une mère. Et qu′en est il de vos frères et sœurs ? Tous rayés de votre entourage ?
Vous avez des amis, c′est un point positif, un appui. Quelques rendez-vous avec un professionnel vous aideraient déjà à préciser tout cela, car faute d′éléments plus clairs, il est difficile pour nous de percevoir votre place dans ce contexte familial, l′historique, la genèse des tensions que vous y avez rencontrées.
Cordialement à vous
23 NOV. 2018
· Cette réponse a été utile à 2 personnes
Bonjour Sarah,
Votre message est elliptique, vous nous donnez quelques indications qui permettent de saisir globalement votre situation et votre ressenti, mais peut-être faudrait-il en savoir un peu plus pour vous aider.
Vous viviez encore dans le deuil de votre père qui était vraisemblablement pour vous un point de repère, une sécurité, un point de stabilité. Votre mère, telle que vous l'évoquez, on dirait que vous n'avez jamais pu vraiment compter sur elle, du fait de son état psychique . Vous l'écrivez très bien: elle est plus comme une soeur pour vous aujourd'hui...
Ce qui est étonnant dans votre message, est le fait que dernière enfant d'une fratrie nombreuse, vous ne semblez pas avoir bénéficié de l'aide et de l'amour de vos aînés ou au moins de certains d'entre eux: vous qualifiez vos frères et soeurs de fourbes et superficiels. Mais pas tous quand même? N'avez-vous pas de liens privilégiés avec certains d'entre eux?
Fort heureusement vous avez de nombreux amis, mais ceux-ci ne remplacent pas une famille et n'effacent pas les douleurs familiales....
Que faire donc pour vous construire? Si vous avez écrit ici, vous pouvez peut-être faire le petit pas de plus qui serait de consulter, afin de revisiter ces douleurs, tout doucement, au fil du temps et par là de les défaire?
Bonne chance à vous
Bien cordialement,
Fabienne Verstraeten
Psychanalyste
22 NOV. 2018
· Cette réponse a été utile à 3 personnes
Bonjour Sarah,
Dans votre histoire, je ne comprends pas bien si c'est le décès de votre père dont vous n'avez pas fait le deuil qui vous fait souffrir, ou bien le fait de n'avoir jamais eu votre place dans votre famille.
Quoiqu'il en soit, le mieux serait de consulter un thérapeute pour comprendre ce qui vous fait souffrir et le traiter.
Sachez qu'il existe différentes approches thérapeutiques comme la mienne par exemple.
Suivant votre région, n'hésitez pas à consulter ce site riche en praticiens en tout genre.
Cordialement
Nathalie FOLLMANN - Hypnothérapeute clinique à CLICHY