Mieux vivre ma culpabilité en expatriation

Chère cliente,

Tout d'abord, je tiens à vous féliciter pour les décisions courageuses que vous avez prises pour vous épanouir dans votre vie personnelle et professionnelle. Il est normal de ressentir de la culpabilité lorsque nous faisons des choix qui peuvent être perçus comme allant à l'encontre des attentes ou des valeurs de notre famille. Cependant, il est important de se rappeler que vous avez le droit de vivre votre propre vie et de poursuivre vos propres rêves et aspirations.

Il semble que vous ayez réfléchi de manière approfondie à votre décision de retourner au Québec, en pesant les pour et les contres, et en prenant en considération votre bien-être et celui de votre conjoint. Il est important de reconnaître que vous avez fait un choix basé sur ce qui était le mieux pour vous et votre relation, et cela mérite d'être respecté.

Il est également compréhensible que vous ayez des préoccupations concernant votre relation avec votre famille, en particulier avec votre père et son état de santé. Cependant, il est important de comprendre que vous n'êtes pas responsable de la santé ou du bien-être de votre père, et que vous avez le droit de vivre votre propre vie indépendamment de cela.

En tant que psychothérapeute, je vous encourage à explorer vos sentiments de culpabilité plus en profondeur et à travailler sur l'estime de vous-même et la confiance en vos propres choix. Il peut être bénéfique d'explorer les schémas de pensée négatifs ou les croyances limitantes qui alimentent cette culpabilité, et d'apprendre à vous accorder plus d'importance et à vous affirmer de manière saine dans vos relations familiales.

Je vous invite également à envisager la possibilité de consulter en ligne à mon cabinet de psychothérapie. Les séances en ligne offrent la flexibilité et la commodité de recevoir un soutien professionnel dans le confort de votre foyer, sans avoir à vous déplacer physiquement. Nous pouvons travailler ensemble pour explorer vos sentiments de culpabilité, développer des stratégies pour gérer les attentes ou les reproches éventuels de votre famille, et vous aider à atteindre votre objectif de dépasser cette culpabilité non justifiée.

N'hésitez pas à prendre rendez-vous en ligne avec mon cabinet de psychothérapie pour que nous puissions travailler ensemble sur vos préoccupations. Votre bien-être et votre épanouissement personnel sont importants, et il est essentiel de prendre soin de vous-même dans votre démarche de vie.

Cordialement,

Bonjour,

Effectivement il n'y a pas lieu du tout de culpabiliser.
Le rôle des parents est d'accompagner leurs enfants jusqu'à ce qu'ils deviennent adultes, et non de les garder toute leur vie auprès d'eux. Vous pouvez très bien rester proche de vos parents sans céder au chantage. Votre départ c'est leur problème d'adulte. Quand vous serez vous même maman il vous arrivera un jour de devoir laisser partir vos enfants.Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves
Vous auriez néanmoins peut-être besoin d'approfondir avec un thérapeute vos liens familiaux. Notamment la bipolarité de votre père ne peut pas être apparue avec votre naissance mais elle existait avant.

Bonjour Sam,

Je vous avais rédigé une longue réponse mais elle n'a pas été publiée
Je serai donc synthétique car votre récit fait écho chez moi et il m'est impossible de vous laisser dans le néant
Premier point,
vos parents ont été dans l'âge d'or où les emplois étaient plus faciles à trouver et où il ne fallait pas quitter ses racines également pour réaliser des études de très haut niveau, dans votre cas être Docteur n'est pas seule un diplôme mais le grade au sommet de la pyramide universitaire et je vous en félicite à vous et à votre conjoint.

Vous n'avez pas à vous comparer à vos parents sur ce plan là et surtout pas à vous culpabiliser d'avoir choisi la Belle Province pour vos études et désormais votre enracinement,votre construction familiale qui est un merveilleux projet

Votre père est bipolaire, on disait encore il y a peu maniaco-dépressif, il est suivi dans sa pathologie et il réside peut-être une part de "chantage" pour vous ramener à lui, mais personne n'a le droit d'enchaîner l'autre à lui même. C'est votre liberté, ce sont vos choix très étayés par ailleurs et avec en amont l'effort d'avoir tenté en France de trouver un poste digne de vous tout comme votre amoureux.

Les autorisations de résidence sur le sol canadien sont de 2 fois 3 mois par année civile, et vous, vous y allés. Autant dire que le pont entre les 2 rives est maintenu et les liens demeurent .

Vous devez vivre pour vous, sans égocentrisme ou narcissisme aucun ,non juste pour un jour ne pas regarder dans le rétroviseur de la vie et vous dire ,j'ai des regrets, le Québec m'offrait ce que la France n'est pas en mesure de me donner quand on est une matière grise au top niveau.

Alors sortez votre sentiment de culpabilité et par voie binaire de honte de vos choix de vie de votre psyché et libérez vous.

Soyez heureuse au Québec, cette terre d'exception

Je vous souhaite tout le bonheur du monde et l'épanouissement avec votre époux , entouré de vos amis .

Bénédicte ESCARON
Praticienne en psychothérapie
Psychanalyste

Bonjour Sam,

Vous êtes extrêmement touchant par votre récit.

Je vous avais écrit plusieurs réponses mais elles ont été non publiées, espérons que ce message succint vous parvienne.

Vous êtes désormais mariée et avez le grand projet de fonder votre famille.
Votre poste vous a amenée à une meilleure reconnaissance du grade de Docteur au Québec et il en est de même pour votre conjoint.
Vous avez tenté de vivre deux années en France mais vous n'y avez pas trouvé le rapprochement escompté et certainement un poste moins valorisant que ce que vous méritez et ce que la Belle Province vous propose.
Vous devez décharger votre culpabilité et par effet binaire votre honte liée à votre choix d'expatriation.
Vous avez une instance surmoique visiblement tres forte liée à votre construction identitaire, seule une démarche analytique vous permettra de conscientiser sur la raison de votre schéma de pensée denotant visiblement un attachement très fort à vos parents mais aussi une parentification inhérente à la pathologie de votre papa.
Beaucoup de pression sur vos épaules. Tout comme le comportement de votre maman.

Je vous invite à cette introspection accompagnée par un thérapeute pour vous libérer de ce poids de la culpabilité après en avoir saisi pleinement la causalité.

Je suis à votre écoute en téléconsultation en toute bienveillance et avec empathie.

Bien cordialement.

Bénédicte ESCARON
Psychanalyste
Praticienne en psychothérapie

Bonsoir Sam,
C'est tellement facile de faire culpabiliser une personne qui est expatriée. N'acceptez pas ce jeu pervers surtout si de votre côté vous avez la sensation d'avoir fait tout ce qui était en votre pouvoir.
Il est important de vous faire suivre mais plus pour que vous arrêtiez cette culpabilité inappropriée et surtout savoir dire stop à tous les empêcheurs de tourner en rond. Pensez à votre bonheur et celui de votre mari. Si vos parents vous aiment réellement ils seront se satisfaire de vous voir heureux.
Bonne continuation et n'hésitez pas à me contacter si vous le désirez.
Bien à vous.
Natacha Verseaux

Bonjour,

Vous avez essayé, parfois pour des raisons administratives, nos vœux ne peuvent se réaliser. Ce n’est pas du ressort de votre couple.

Votre schéma familial représente vos valeurs, indispensables pour la suite des événements, gardez-les. Vos valeurs ne sont pas l’identique schéma de vos parents.

Toutefois, l’envie d’avoir un enfant en dualité avec la proximité physique de vos parents en France demanderait certainement une souplesse psychologique que l’on peut acquérir à travers une thérapie

Alison Baudouin
Psychothérapeute

Bonjour
Votre sentiment de culpabilité quant à vivre votre vie, vient assurément de votre enfance et de l'éducation que vous avez reçu.
Le trouble de votre père, le comportement de votre mère et encore bien d'autres paramètres ont certainement contribué à l'instauration dans votre psyché d'un surmoi tyrannique qui vous culpabilise alors même qu'il n'y a pas de raison, pas d'interdit.
Vivre sa vie, exercer le métier pour lequel on a longtemps étudié, aimer et construire sa propre famille n'est pas transgresser un interdit et il n'est pas normal de se sentir coupable envers ses parents pour cela.

Vos loyautés sont trop nombreuses, et vos liens trop serrés pour que vous puissiez voir où se loge votre interêt.

Je vous invite à engager un travail sur vous en psychothérapie pour desserrer ces noeuds qui vous empêchent et entravent la réalisation de vos désirs propres au profits du désir des autres.
Dans la vie s'il y a bien quelque chose qu'on ne doit pas dénier c'est bien nos propres désirs.
J'espère que vous y réfléchirez...

Je vous souhaite tout le meilleur pour la suite de votre vie et je reste à votre écoute si vous voulez partir en exploration,
Bien à vous,
Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie - Psychogénéalogie

Bonjour madame
Je vous aide avec grand plaisir à sortir de cette culpabilité, et à trouver ''normal'' de penser à votre bonheur.
En visio dès que possible
Bien à vous
Inès Avot

Bonjour Sam,
Cette culpabilité que vous éprouvez vient de la peur de l'abandon que vous avez contractée dans votre enfance (le plus souvent en lien avec le parent du sexe opposé). La fragilité psychologique de votre père vous a amenée à jouer un rôle qui n'est pas celui d'une petite fille, vous avez endossé inconsciemment le costume (toxique) du sauveur, le tout sur fond de co dépendance affective.
On peut guérir de ses blessures d'origine par un travail sur l'enfant intérieur et apprendre à s'aimer assez pour se choisir.
Le choix que vous avez fait est le bon car vous voyez bien que toutes les planètes sont alignées, que tout est fluide alors que ça ne l'était pas lorsque vous avez expérimenté un retour en France. Vos parents ont fait leurs propres choix de vie, vous devez faire les vôtres et la distance n'entache pas l'amour que vous leur portez : vous dites les voir tous 4 mois, dans de longs séjours. Si vous viviez à quelques centaines de kms d'eux en France, pensez vous que vous les verriez plus souvent ? ce n'est pas la quantité de temps passé ensemble qui compte, mais l'intensité du moment.
Je vous encourage à vous faire aider pour inscrire cette nouvelle vision des choses en vous.
Je vous invite aussi à lire cet ouvrage de Lise Bourbeau "les 5 blessures qui empêchent d'être soi-même" : vous devriez y trouver des clefs de compréhension.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour Sam,

Je crois qu’il faut revenir à la définition du rôle des parents pour répondre à votre culpabilité. Pour vous quel est donc le rôle fondamental et absolu des parents ?
C’est très simple, ils doivent pour commencer donner un amour inconditionnel à leurs enfants. Ensuite, leur seule et unique mission principale dans la vie est d’aider leurs enfants à réussir à s’épanouir et pouvoir vivre de façon indépendante dans leur vie.
Et c’est tout, le reste, c’est du plus.
Donc, vos parents ont achevé leur mission, il faut maintenant qu’ils l’acceptent. Vous souffrez, car vous prenez sur vos épaules une culpabilité qui ne doit pas être votre.
Faites votre vie, réussissez la du mieux possible, élevez maintenant à votre tour vos enfants et permettez leur à leur tour de s’épanouir dans la vie. Vos parents ont déjà beaucoup de chance que vous puissiez les voir tous les quatre mois. Ce n’est pas donné à tous les parents. Je ne vous dis pas d’être égoïste, au contraire, mais de faire la part des choses.

Je reste à votre disposition et à votre écoute.

Pour plus de détails, contactez-moi.
N’hésitez pas à vous faire une idée du sérieux de ma méthode en consultant les avis sur ma fiche.

Christophe
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Thérapeute de couple - Sexothérapeute
* Rendez-vous en ligne uniquement

Bonjour Sam,

Tout d’abord merci d’avoir partagé avec nous ce témoignage très touchant.

Vous avez fait le bon choix en retournant vivre au Québec, où comme vous le dites « tout s’est aligné ». Vous y avez vos emplois, vos amis et une vie qui s’ouvre devant vous et, pour reprendre vos mots, que vous adorez. Votre tentative de retour en France a été émaillée de nombreuses difficultés pour vous et votre conjoint, autant de signes qui vous indiquaient que cette voie n’était effectivement pas la bonne.

Vos parents et votre famille ont fait des choix de vie qui leur appartiennent, et qui appartiennent aussi à d’autres générations où les valeurs étaient différentes. La maladie de votre père et le lien fusionnel qu’elle a créé entre vous vous a enfermée dans un rôle qui n’était pas le vôtre, et qui vous a obligé à mettre vos propres besoins entre parenthèses. Votre père est très entouré, il a un traitement, il n’est donc ni seul, ni démuni face à sa maladie. Rompre cette fusion est tout ce qu'il y a de plus sain et nécessaire afin que vous puissiez vivre vos choix de manière épanouie. Le lien avec votre famille n’en sera pas rompu pour autant.

Une thérapie peut vous aider à assumer la place qui est aujourd’hui la vôtre, et à suivre vos propres désirs en vous libérant de votre culpabilité. Je me tiens à votre disposition si vous souhaitez que l’on en discute.

Prenez soin de vous.

Bien à vous,
Christel Ré

Bonjour Sam,

Votre récit me touche.

Vous avez du mal à être loin de votre famille, de votre père dont vous êtes proche. Vous culpabilisez alors que, rationnellement, vous avez tout essayé pour vous rapprocher et trouver un travail en France. Mais ici, les Docteurs en Chimie ne sont pas reconnus comme au Canada ou dans les pays anglo-saxons. Et les Canadiens trouvent difficilement une situation.

Vous avez du mal à vous autoriser à vivre la vie qui s'aligne devant vous.
Faire le point avant de vous engager dans une vie de famille serait une bonne chose pour vivre pleinement la vie qui vous attend.

Nous pouvons prendre du temps, en visio, pour discuter de votre situation.

Bon courage
Raphaëlle Richaud

Bonjour Sam,
Merci pour votre sincérité.
Lorsque vous parlez de reproches, qui vous en fait ? vous dites que personne ne vous en fait mais que vous les redoutez, merci de m'éclairer en ce sens.
Dans la nature des choses, nous ne faisons pas d'enfants pour les garder, ils ne nous appartiennent pas.
Les parents sont heureux si les enfants le sont, oui je sais, cela est très basique comme phrase.
Je vous invite à regarder plus profondément cette culpabilité, sa source et la place qu'elle prend chez vous.
Parce qu'elle apparait fortement chez vous, elle doit se présenter à vous dans d'autres situations, non ?
Je consulte à distance si vous souhaitez échanger avec moi sur ce sujet pour enfin vous libérer et vivre pleinement.
Bien à vous
Valérie Garnier

Bonjour Sam,
Il est normal de se sentir coupable lorsque l'on prend des décisions qui peuvent affecter les autres, en particulier les membres de notre famille. Cependant il est utile de se rappeler que vous avez pris la décision de retourner au Québec pour des raisons valables, notamment pour poursuivre votre carrière et votre vie avec votre mari.

Il est possible que vos parents et votre famille soient déçus de votre décision, mais il est important de comprendre que c'est votre vie et que vous avez le droit de prendre des décisions en fonction de vos propres besoins et désirs. Vous n'avez pas à vivre votre vie en fonction des attentes des autres.

Il est également intéressant de travailler sur la manière dont vous traitez avec vos parents et leur relation fusionnelle avec vous. Il est normal d'aimer et de soutenir sa famille, mais il est également important de se rappeler que vous êtes votre propre personne et que vous avez le droit de vivre votre vie de la manière qui vous convient le mieux. Vous pouvez envisager de consulter un thérapeute ou un conseiller pour travailler sur ces questions.

Enfin, il est compréhensible que vous ayez des inquiétudes concernant la façon dont votre famille réagira lorsque vous aurez des enfants. Mais il est important de se rappeler que vous et votre mari avez le droit de prendre des décisions en fonction de ce qui est le mieux pour votre famille et que vous pouvez établir des limites saines avec les membres de votre famille si cela est nécessaire.

Je vous encourage à continuer à travailler sur vos préoccupations et à chercher du soutien auprès de professionnels de la santé mentale si nécessaire.Sachez que je consulte en visio ou presentiel Il est important de prendre soin de vous et de votre bien-être émotionnel.
Excellente journée à vous!
Thalia Inna
Praticienne en psychologie et hypnose
PNL,EMDR
En visio et presentiel

Bonjour Sam,

Merci pour votre partage.
Votre père souffant de bipolarité et vous devenant son "éponge", vous avez probablement été un enfant parentisé, c'est à dire un enfant qui prend soin de son parent alors que cela devrait être l'inverse. Et comme beaucoup d'enfants dont les parents sont en grande souffrance vous avez voulu guérir votre père, et vous vous êtes sentie coupable de ne pas y parvenir. Elle est en partie là, votre culpabilité. Et pourtant vous avez choisi le Québec pour vous installer, avec un emploi et un compagnon qui rendent presque impossible de demeurer près de chez vos parents, alors que l'ancrage au territoire est une histoire de famille. Elle est là votre autorisation, votre protection, dans cette distance. Dans un travail thérapeutique vous allez pouvoir rencontrer et apprivoiser cette culpabilité dont vous ne voulez plus, à juste titre, et vous allez pouvoir jouir librement de vos choix et de vos qualités. Vous avez le droit de vivre pour vous, de la manière qui vous convient. Vous pouvez vous faire confiance et contacter un.e thérapeute dont le profil vous parle.

Bien à vous,

Agnès Foissac

Il semble que vous ayez vécu beaucoup de changements et pris des décisions difficiles au cours des dernières années. Déménager dans un nouveau pays, se marier et relever les défis du travail et de la famille peuvent être très stressants, il est donc compréhensible que vous vous sentiez coupable ou en conflit avec vos choix.

Il peut être utile de vous rappeler que vous avez pris la meilleure décision possible à ce moment-là, sur la base des informations et des ressources dont vous disposiez. Vous aviez des raisons valables de vouloir retourner en France et vous avez fait tout ce que vous pouviez pour que cela fonctionne pendant que vous étiez là-bas. Ce n'est pas votre faute si les choses ne se sont pas déroulées comme vous l'espériez, et vous ne devriez pas vous en vouloir pour cela.

Il est également important de reconnaître que vos sentiments de culpabilité et de responsabilité à l'égard du bien-être de votre famille ne sont pas rares, en particulier dans les cultures où les liens familiaux sont très forts. Cependant, il est également important de se rappeler que vous n'êtes pas le seul responsable de leur bonheur ou de leur bien-être. Vous avez le droit de vivre votre propre vie, de poursuivre vos propres objectifs et de faire vos propres choix, même s'ils diffèrent des souhaits ou des attentes de votre famille.

Si vous êtes aux prises avec ces sentiments de culpabilité et d'anxiété, il pourrait être utile de parler à un thérapeute. Il pourra vous aider à surmonter vos émotions, à développer des stratégies d'adaptation et à apprendre à donner la priorité à vos propres besoins et à votre bien-être. Il est également important de rester en contact avec votre partenaire et vos amis, et de continuer à construire un réseau de soutien qui vous aidera à relever les défis de la vie dans un nouveau pays.

Enfin, n'oubliez pas qu'il n'y a rien de mal à se sentir en conflit et incertain de ses choix. La vie est pleine d'incertitudes et de changements, et il est naturel de remettre ses décisions en question de temps à autre. Mais avec du temps, de la patience et de la compassion, vous pouvez apprendre à vous faire confiance et à trouver un sentiment de paix et d'épanouissement dans votre vie.

Je vous souhaite bonne chance et prenez soin de vous.