Comment aider mon fils à faire le bon choix ?

Bonjour madame
Est ce que votre fils aurait confiance dans le fait de se faire aider par l'un l'une d'entre nous ?
C'est avec plaisir que je me propose d'échanger avec lui au téléphone, et si notre échange le convainct de prendre ne serait ce qu'un rdv, je le reçois bien volontiers en présentiel ou visio comme c'est le mieux pour lui
Bien cordialement Inès Avot

Bonjour,

Il serait nécessaire de comprendre son malaise. Est-ce simplement parce que cette formation ne lui plait pas ou autre chose.
Si cette formation lui plait mais qu'il s'agit d'autre chose vous pourriez essayer de négocier qu'il termine au moins cette année en lui expliquant que cela lui permettrait de reprendre cette formation s'il le souhaite un jour.
Mais votre fils a surtout besoin de faire le point avec un professionnel. Suggérez lui de faire ce point.
Après s'il s'arrête et trouve un travail il est tout à fait possible que cela lui fasse grand bien et qu'il trouve sa voie autrement.
Ne vous inquiétez pas trop, il est jeune et aujourd'hui les possibilités de formation continue sont possibles toute la vie.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement.

Bon courage à vous

Michel le Baut

Bonjour,
Vote fils a 20 ans, c'est certes encore jeune, mais il est majeur et il est temps qu'il fasse ses propres choix. Le problème vient peut-être du fait qu'il n'a pas pu le faire jusqu'à présent : parfois, on fait des choix en fonction des influence extérieures ou pour ne pas décevoir et le fait de vouloir arrêter en cours de route peut traduire la prise de conscience qu'on a pris la mauvaise voie ou la peur d'échouer.
Il serait bon que votre fils accepter de consulter pour éclaircir cela et l'aider à trouver son chemin. Il faut aussi que vous compreniez que la nature humaine fait qu'on a besoin de se casser la figure pour tirer les enseignements : chacun a besoin d'avancer à son rythme.
Je consulte en présentiel ou par visioconférence. Merci de me contacter avant de vous inscrire sur l’agenda de la plateforme.
Bien à vous
Véronique BLANCHE, Thérapeute Holistique
Guérison de l’enfant intérieur
Hypnose Ericksonienne
Soins énergétiques

Bonjour.
Un enfant malade où qui joue le jeu d'être malade pour louper le collège une semaine, c'est quelque chose d'assez commun qu'il ne faut pas laisser passer, mais commun.
Rien de grave à cela.
Pour répondre à votre question. Si votre fils a laissé sa formation en cours, c'est qu'il ne s'y retrouvait pas dedans. Il est donc intéressant de discuter avec lui, voir comment il voit son avenir et pourquoi cette impatience de travailler.
Est-ce dû à son entourage ? Est-ce dû au fait qu'ils ne se sentent pas l'envie de faire des études ? Si il n'arrive pas à s'ouvrir à vous le choix de l'orienter vers un psychothérapeute serait tout à fait justifié.
Dans votre description, il y a trop peu de détails pour pouvoir faire un diagnostic et donc vous aider de manière professionnelle. Je vous invite donc à me contacter. Pour faire un peu le point avec vous au téléphone.

Bonjour Maman perdue,

Vous êtes une maman et avec tout l'amour que vous portez à votre fils, vous n'êtes pas à sa place, il a 20 ans et même si vous voyez son avenir et craignez qu'il ne regrette ultérieurement son choix d'aller dans le milieu du travail, vous ne pouvez pas prendre la décision à sa place et potentiellement l'influencer.
Il s'agit de lui, de sa vie, de ses envies propres, de ses ressentis. Il est lui.
Vous l'aiderez en ne lui mettant pas de pression dans son choix, en le laissant se détacher du cocon familial et prendre son autonomie.
Ne remettez pas en scène l'épisode du collège alors que aujourd'hui, il a grandi.
Parler de dépression est par ailleurs lourd de signification, pensez-vous que ce soit vraiment le terme adéquate?
La dépression est une pathologie névrotique poussée à son paroxysme et demandant une prise en charge par le corps médical ( le plus souvent par voie moléculaire si le degré de sévérité est trop net) et en parallèle une thérapie analytique pour extérioriser par la parole ses ressentis, ses souffrances, comprendre pourquoi nous ne contrôlons plus nos émotions et pourquoi l'angoisse nous submerge.
En étai-il arrivé à ce stade au collège? si il a pu retourner après une semaine au collège, c'est plutôt un état de déprime, pas une pathologie dépressive, il me semble.... Non?

Avoir en revanche peur qu'il ne tombe dans une dépression l'amène à se questionner sur lui, il ressent votre propre angoisse, ce n'est pas là lui rendre service sachant que vous demander à l'aider.

Il veut travailler, ne croyez-vous pas qu'il veut lâcher la pression pesant sur ses épaules à travers ses études?
Avait-il fait ce choix d'orientation pour lui, exclusivement pour lui ou pour l'entourage familial et l'image que cela lui renvoie?

'Vers qui Nous touner? "
vers lui, et le laisser parler désormais à la première personne du singulier et non du pluriel.
Son désir de vivre une expérience professionnel est respectable et tout à son honneur, laissez-le agir à sa guise, donnez lui votre accord tacite afin qu'il ne souffre pas de sentiment de cuplabilité, culpabilité de ne pas avoir agi comme vous le souhaitez...

Je comprends la maman mais je me mets aussi dans la posture d'un jeune de 20 ans qui a envie de s'envoler, de s'autonomiser, de prendre son envol.
Vous serez toujours là pour lui, il le sait, redites lui, mais ne laissez pas un sentiment de doute flottant dans son choix, son choix d'adulte désormais.
Lâcher la main est difficile affectivement mais c'est la fierté qu'il faut lui montrer dans vos paroles et par votre regard, il n'est pas un "tanguy" voyez-vous et c'est bien.
Sachez que je comprends parfaitement vos craintes de maman.
Il y a aujourd'hui tellement de possibilités pour reprendre des études plus tard, en alternance par exemple, ou des formations, laissez lui sa chance, il gagne en maturité. Encouragez le.

Je me tiens à votre écoute en téléconsultation pour échanger plus précisément sur cette question d'aide à la parentalité qui est une de mes spécialités.
Avec toute ma grande bienveillance et mon empathie.

Faites lui confiance. Il vous en sera reconnaissant.

Bénédicte Escaron
Praticienne en Psychothérapie
Thérapeute d'aide à la parentalité
Sophrologue

Bonjour à vous

Je comprends que l'avenir de votre fils vous préoccupe beaucoup. Comment avez vous vécu cet "épisode au collége" dont vous parlez ? Comment c'était pour vous, en tant que mère ? A quel point vous sentez-vous responsable de votre fils et des décisions qu'il prend aujourd'hui ?
Je vous invite à vous poser ces questions de façon à ce que vous preniez conscience de ce que vous vivez sur le plan émotionnel.
Votre fils ressent votre état et il ne veut pas vous décevoir. Et en même temps, il doit construire sa vie et se détacher de votre regard sur lui. Il a 20 ans et c'est à lui de choisir.
Plus vous serez en confiance à ses côtés, plus il prendra ses responsabilités avec confiance et fera les bons choix pour lui.
Votre rôle est d'être là, à ses côtés et de le soutenir "quelques soient ses choix".
Je me tiens à votre disposition pour en discuter davantage et vous souhaite sincèrement de trouver réponses à vos questions.

Prenez soin de vous
Hélène Chambris
Gestalt Thérapie Humaniste Intégrative
Rdv en ligne, dans la Nature ou en présentiel à Marseille 8ème

Bonjour Madame,

Vous vous questionnez et vous inquiétez de ce souhait d'arrêter les études et c'est tout à fait légitime.
Votre fils est peut-être lui-même face à un questionnement vertigineux qui le pousse à préférer faire "n'importe quel boulot".
Cette situation mériterait d'être interrogée afin de lever le voile sur un choix important. Une psychopédagogue pourrait peut-être l'y accompagner.
Mais quoi qu'il en soit l'avenir n'est jamais figé et il est toujours possible de reprendre des études ou de faire des formations.
Je lui souhaite de trouver sa voie et vous, votre sérénité.
Bien cordialement,
Cecile Didier

Votre fils questionne son désir.

Il ne semble avoir ni le souhait de tenir 1 an 1/2, ni le souhait de recommencer une formation ailleurs. Il semble ne pas souhaiter faire d'études : il a le souhait de travailler.

Il semble s'être mis en position de répondre jusqu'ici au désir de l'autre (familial, social, scolaire) au prix de son propre désir. La béance produite peut être source de déprime.

Aller travailler ne signifie pas un arrêt définitif de formations : nous vivons à une époque où il est à tout moment possible de se former. La découverte du monde professionnel peut ouvrir sur un désir ultérieur de se former. La motivation n'est alors pas la même puisque fondée sur la découverte d'une voie insoupçonnée.

On ne contraint pas son désir, on le découvre.

Vous pouvez proposer à votre fils de rencontrer quelqu'un le temps de démêler son souhait et de le soutenir dans ses choix.

Bien à vous,
Karin Walter.

Bonjour,

Un choix est un choix, il n'est ni bon ni mauvais. Il répond à des besoins.

Je vous invite à découvrir la CNV Communication Non Violente, qui permet de communiquer d'abord avec soi-même.
Apprendre à cerner ses ressentis et émotions dans une situation donnée, puis voir les besoins qui sont en liens.

Si votre fils arrête ses études, comment se sent-il ? Soulagé, détendu, déçu ? Quels besoins cela satisferaient, besoin de respect de son rythme, de son temps ? Besoin de sens ?
Et vous-même ? Êtes-vous inquiète, préoccupée, perdue ? Quels sont les besoins satisfaits ou pas ? Besoin de sécurité,  de tranquillité, de paix ?

Vous pouvez proposer à votre fils de se faire accompagner par un-e thérapeute pour mieux appréhender son avenir.
Vous pouvez l'assurer de votre présence et de votre amour quelque soit les choix qu'il fasse.

Je reste à votre disposition pour approfondir cette question si vous souhaitez.
Claire Thomas,
Psychosomatothérapeute