Ma fille de 16 ans a fait une.bda , est sous neuroleptiques depuis 5 mois

Réalisée par Chasri · 12 mai 2023 Dépersonnalisation

Bonjour ma fille de 16 ans a fait 1 bda le 2 janvier, a ete hospitalisée 15 jours et est sous abilify et tercian depuis mais on a limpression que c de pire en pire...
Elle na plus tout de signes de bda (derealisation, dépersonnalisation et hallucinations) dès le.debut de son traitement mais par contre elle est complètement amorphe, on dirait un zombie, elle na plus de motivation, n'arrive pas a se concentrer meme pr lire 1 livre, fait que de pleurer, stress enorme donc descolarisee malgre le fait quelle veuille y aller (mais des quelle retourne au lycee ou avec des inconnus elle a un stress tellement enorme quapres elle ne fait que de pleurer)...
Le psycuiatre ne veux pas arreter son traitement car peur quelle refasse une crise ms on a limpression que ca l aneantie car evidemment a 16 ans, elle a envie de redevenir normale, aller en cours et voir ses copines (en etat habituel et non en mode "zombie")....
La pedo psychologue qui la suivait en parallèle nous a dit que les seances ne servaient a rien pr le moment car elle est trop amorphe et donc ne semble pas comprendre ce quelle lui dit et ne parle
pas....
On ne sait plus quoi faire....

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Meilleure réponse 14 MAI 2023

Bonjour,
Ce qui est important tout d'abord est que votre fille soit suivie par le psychiatre qui l'a prise en charge. Il faut lui faire confiance, il sait ce qu'il fait. 15 jours d'hospitalisation, ce n'est pas long, donc votre fille est sur le chemin de la guérison. Pour autant, il y a des étapes à respecter afin qu'il n'y ait pas de récidive ou de difficultés psychiatriques par la suite. Qu'elle ait envie de retrouver le lycée, ses amis et sa vie d'adolescente est très bon signe. Certes, le traitement la "calme' peut-être un peu trop: mais il est donné par le seul spécialiste qui soit à même, 15 jours après une bouffée délirante, de s'occuper de votre fille. En revanche de votre côté vous pouvez l'apaiser, la rassurer, lui dire qu'une bouffée délirante peut arriver à chacun d'entre nous, avec une preference pour les personnes jeunes même si ce nest pas une regle absolue. Lui dire de patienter un peu : elle va d'autant plus vite retrouver sa vie "normale" qu'elle sera apaisée par vos propos rassurants. Mais il faut qu'elle se donne le temps d'aller complètement bien et d'être en mesure de pouvoir retourner au lycée sans encourir de risque. Si elle est angoissée, inquiète, triste, elle pout tout à fait consulter un psychothérapeute (en parallèle du psychiatre, qui va la suivre pendant plusieurs mois). Cela lui permettra de mettre des mots, sur l'épisode psychiatrique quelle a traversé.
Chaque chose en son temps. Et même si les jeunes gens ne sont pas les plus patients....ils doivent comme tout un chacun prendre le temps d'aller bien. Ce temps n'est pas du temps perdu, loin de là.
Soyez patientes, vous et elle. Tout va rentrer dans l'ordre.

Frédérique Le Ridant

Frédérique Le Ridant Psy sur Saint-Michel-de-Chabrillanoux

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15 MAI 2023

Bonjour,

Je pense que vous devriez demander l'avis d'un second psychiatre.
En effet il y a beaucoup de bouffées délirantes qui ne débouchent pas sur une psychose et qui ne se reproduisent jamais.
Elles sont généralement due à un excès de stress ou d'angoisse ponctuel.
Actuellement votre fille semble matraquée par les médicaments.
Si c'était ma fille j'allègerai progressivement le traitement et observerai l'évolution de la situation. Il sera toujours temps de traiter une éventuelle reprise de bouffées délirantes, si tant est que cela se produise.
Je reste personnellement à votre disposition, sachant que ma première séance d'une heure est entièrement gratuite et sans engagement. Vous pouvez librement prendre un rendez vous sur mon agenda en ligne.

Bon courage à vous

Michel le BAUT
Psychopraticien
Thérapeute Jungien
Analyse de rêves

Michel Le Baut Psy sur Marseille

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14 MAI 2023

Bonjour

Votre fille de 16 ans vient de connaître un épisode de bouffées délirantes. Cela est extrêmement traumatisant pour elle et son entourage car impressionnant et difficile à en comprendre les causes. Maintenant elle est en phase dépressive.
Vous donnez peu de détails aussi je vous donne un résumé explicatif.

Les bouffées délirantes surviennent le plus souvent chez des adolescents et des jeunes adultes
Toute personne ayant développé une bouffée délirante aiguë doit être hospitalisée afin de subir des examens et une recherche des causes de son délire. Le bilan comporte un examen neurologique et la recherche d’une éventuelle prise de toxiques
La gravité de la bouffée délirante, sa durée et sa résistance aux traitements sont des éléments qui peuvent indiquer une évolution. Il est par conséquent nécessaire de continuer le suivi de la personne par un spécialiste pendant un à deux ans pour dépister une éventuelle évolution.
La bouffée délirante aiguë peut avoir des raisons très diverses . Elle peut par exemple être provoquée par un effondrement brutal des mécanismes de protection psychique que la personne avait mis en place si elle s’est trouvée depuis longtemps dans un contexte relationnel difficile. La bouffée délirante aigüe peut aussi être due par exemple à un facteur externe, drogues, surmenage, manque de sommeil….
La personne perçoit ce qui lui arrive et peut avoir l’impression de sombrer dans la folie, ce qui la rend très anxieuse. Un état dépressif suit souvent la bouffée délirante.

Une psychothérapie peut alors être nécessaire, lorsque les médicaments ont fait leur effet, pour aider la personne à comprendre ce qui a pu déclencher cet épisode et pour traiter son état dépressif.

Enfin vous devez insister sur la nécessité d’un suivi médical, être à l’écoute et rassurante pour aider votre fille de retrouver une vie normale.

Il est absolument nécessaire de suivre très précisément le traitement et de parler au psychiatre qui suit votre fille de vos constats afin qu’il puisse en tenir compte.

Avec toute ma bienveillance

----Olga SERO-GUILLAUME----
NEURACOSME
Psychopraticien – Hypnothérapeute
Psychothérapie - Accompagnement au changement
Développement personnel
--- Visio et Présentiel ---

Olga Sero-Guillaume Psy sur Laval

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14 MAI 2023

Bonjour Chasri,
Je comprends que la situation vous semble sans issue. Je pense que vous devriez retourner voir le psychiatre car il me semble que la prise en charge de votre fille est lacunaire et lui redire les difficultés que vit votre fille à cause du traitement ainsi que la difficulté de la psychothérapie avec la psychologue. Vu son état, une psychothérapie me semble indispensable ainsi qu'un accompagnement social (activités, hôpital de jour, art-thérapie, soutien scolaire etc). Vous pourriez peut-être prendre rdv avec l'assistante sociale de l'hôpital où votre fille a été prise en charge.
Vous pourriez aussi prendre rdv avec votre médecin traitant pour faire le point. Il pourrait peut-être vous aider à trouver un autre psychiatre pour un deuxième avis et vous pourriez peut-être aussi trouver une autre psy pour votre fille. Le contact est important pour la prise en charge et le fait de ne pas parler peut être dû aux médicaments mais aussi à la personnalité de la psy.
Je reste à votre disposition si vous avez besoin de soutien dans vos recherches.
Nathalie Goursolas Bogren
Analyste transactionnelle

Nathalie Goursolas Bogren Psy sur Sallanches

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14 MAI 2023

Madame,

Je comprends votre désarroi et sans doute votre sentiment d’impuissance puisque vous ne savez plus vraiment quoi faire d’autant que nous sommes au mois de mai, soit 5 mois après la survenue de cette bouffée délirante aigue.

Ce genre d’épisode psychotique survient effectivement chez les adolescents et les jeunes adultes. Cette brusque perte de contact avec la réalité, toujours impressionnante pour l’entourage quand elle survient correspond à un effondrement des mécanismes de défense de l’appareil psychique. Les psychiatres parlent généralement d’une « décompensation ».

Il serait intéressant d’en savoir un peu plus sur votre fille afin d’éventuellement repérer un ou des éléments déclencheurs qui pourraient être à l’origine de cette crise aigue : troubles du sommeil, surmenage, prises de produits stupéfiants, rupture amoureuse, deuil dans la famille etc…

Le point qui me semble positif et rassurant c’est que votre fille même dans un état amorphe et ainsi que vous la décrivez « zombifiée » conserve le désir de reprendre une vie normale et de retrouver ses amis ;

Le psychiatre et la pédo-psy ont sans doute tous les deux raison : un traitement médicamenteux est nécessaire pour traiter une bda et le psychiatre ne veut probablement pas arrêter le traitement par mesure de précaution pour éviter une récidive.

La psy de son côté estime certainement à juste titre que sa patiente est trop anesthésiée mentalement pour pouvoir symboliser , c’est-à-dire exprimer ses pensées et ressentis et se projeter dans le futur, ce en quoi elle a également raison !.

Pourtant c’est bien l’association d’un traitements médicamenteux et d’une thérapie qui peut donner de bons résultats.
Votre fille est sans nul doute anesthésiée par son traitement qui est sans doute devenu un peu trop lourd et moins efficient mais pas totalement inutile d’où ces effets secondaires. plus important, ce qui expliquerait que c'est "de pire en pire"

Personnellement - et c’est ce que je ferais pour ma fille - , je préconiserais de prendre un nouveau rendez-vous avec votre psychiatre en lui demandant s’il ne serait pas judicieux non pas d’arrêter le traitement mais de l’ajuster, d’autant que chacun régit différemment aux substances médicamenteuses. Tout est souvent une question de dosage et de posologie. Si toutefois ce praticien ne voulait rien savoir, ce qui peut arriver, n’hésitez pas à consulter un de ses confrères pour avis.

Une fois le traitement médicamenteux ajusté, votre fille devrait pouvoir être à nouveau en capacité de suivre une thérapie qui ne pourra que lui être bénéfique.

De mon point de vue votre fille a 16 ans n’a pas besoin d’une longue analyse mais d’une thérapie de soutien et de réassurance pour faire face à l’anxiété.

J’espère avoir répondu à vos attentes et avoir pu un peu calmer votre inquiétude concernant l’état de votre fille..

Je me tiens à la disposition de votre fille dans le cadre d’une thérapie de soutien ou éventuellement de vous-même si vous le désirez car cette situation est forcément également pénible à vivre pour l’entourage.

Bien à vous

Jean-Frédéric Blanchard
Psychanalyste, psychosomaticien.

Jean-Frédéric Blanchard Psy sur Vénissieux

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14 MAI 2023

Bonjour Chasri,

D'où je suis ce serait à la limite du charlatanisme de vous dire comment solutionner votre problème, par contre je lis que beaucoup d'incompréhension et de détresse face à cette situation. Oui, une BDA n'est pas un événement léger et le psychiatre a certainement raison de vouloir aller au bout du traitement. Votre fille est en ce moment sous médicament donc c'est normal que ça l'affecte mais elle est entre les mains de deux spécialistes qui connaissent leur boulot (même quand on vous dit que la thérapie n'est pour le moment pas possible, il est vrai que parfois ça pourrait être inutile voir empirer la situation).

Je sais que ce n'est pas ce que vous voulez entendre mais il faut prendre son mal en patience le temps que les médicament stabilisent votre fille. Après, oui, une thérapie pour faire le point sur tout ça sera la bienvenue mais en attendant et afin d'éviter une nouvelle bouffée, il est préférable de suivre les indications du psychiatre (mais rien n'empêche que vous partagiez vos inquiétude avec lui, il sera en mesure de vous expliquer le pourquoi du comment de son traitement).

Quentin GARDRAT, Psychothérapie en ligne, tarif libre (le patient décide) Philothérapie.

Quentin Gardrat Psy sur Le Havre

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14 MAI 2023



Il est essentiel de communiquer ouvertement vos préoccupations au psychiatre de votre fille. Faites-lui part de vos observations sur son état actuel et sur l'impact qu'il a sur sa vie quotidienne. Il peut être utile de demander une réévaluation de ses médicaments afin de déterminer si des ajustements peuvent être apportés pour remédier aux effets secondaires qu'elle subit. La principale préoccupation du psychiatre est peut-être d'éviter une nouvelle crise, mais il est essentiel de trouver un équilibre entre la gestion des symptômes et l'amélioration du bien-être général de la personne.

En outre, il peut être utile de demander un deuxième avis pour explorer d'autres options ou approches thérapeutiques. Un autre psychiatre pourrait avoir des idées et des suggestions différentes qui pourraient être bénéfiques pour la situation de votre fille. Il est important qu'une fois qu'elle sera sortie de la crise (le psychiatre évaluera quand elle le sera), elle puisse acquérir un minimum de conscience pour pouvoir commencer une thérapie avec le psychologue. Je voudrais signaler qu'après une crise intense, les patients doivent rester sous traitement médicamenteux élevé pendant un certain temps qui doit être déterminé par l'équipe qui la traite (psychiatre et psychologue).

En attendant, il est important d'apporter un soutien émotionnel et de la compréhension à votre fille. Faites-lui savoir que vous êtes là pour elle et que ses sentiments sont valables. Encouragez-la à s'exprimer de la manière qui lui convient le mieux, que ce soit en parlant, en écrivant ou en participant à des activités créatives. Favoriser un environnement de soutien et d'épanouissement à la maison peut également contribuer à son bien-être général.

N'oubliez pas que chaque personne est unique et que ce qui fonctionne pour l'une peut ne pas fonctionner pour l'autre. Il faudra peut-être du temps et de la patience pour trouver la bonne approche thérapeutique pour votre fille. Il est essentiel de demander l'avis et le soutien d'un professionnel pour faire face à cette situation difficile.
Courage

Lorena Salthu Psy sur Paris

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13 MAI 2023

Bonjour, votre adolescente semble bien accompagnée ( Pedopsychiatre et psychologue). Concernant le traitement, seul le psychiatre va être habilité à vous conseiller. Tout ce qui peut être recommandé est de rester en étroite collaboration avec lui, notamment concernant les effets secondaires du traitement. Pour la partie avec le psychologue, on doit effectivement attendre que son état soit stabilisé afin qu’elle puisse élaborer en psychothérapie. Pour aider votre adolescente dans la gestion de ses angoisses, je propose qu’elle aie recours à un petit carnet où elle peut exprimer son ressenti au regard des situations anxiogènes. On peut aussi avoir recourt à un objet (un peu comme un doudou) qui lui permette de se sentir rassurée. Enfin concernant votre rôle de parent, que vous effectuez avec bienveillance, l’essentiel est de maintenir la communication et les échanges même s’il n’est pas toujours évident pour votre adolescente d’échanger par rapport à ses émotions. Je lui souhaite de se rétablir petit à petit et d’avancer sur le chemin de la vie.

Stéphanie Francomme Psy sur Bonneuil-sur-Marne

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13 MAI 2023

Bonjour
Il semble que son traitement actuel ait des effets secondaires forts et plutôt indésirables. Il faut impérativement communiquer régulièrement avec son psychiatre et de discuter de tous les effets secondaires qu'elle éprouve afin que des ajustements puissent être apportés si nécessaire et cela même si on sait que les médicaments psychiatriques peuvent prendre du temps pour atteindre leur plein effet, et que cela peut varier d'une personne à l'autre.
Veillez à créer un environnement sûr et soutenant à la maison, en évitant le stress et les conflits autant que possible et maintenez une communication ouverte avec votre fille, en l'encourageant à exprimer ses sentiments et ses préoccupations sans jugement. Si elle a des difficultés à s'exprimer, vous pouvez lui proposer d'écrire ses pensées dans un journal.

Enfin, si rien ne change allez consulter un autre psychiatre pour un deuxième avis ou de demander une référence à un spécialiste des troubles psychiatriques de l'adolescence si cela est possible.

Bon courage à vous et à elle surtout.

Frédérique Pouzol
Psychopraticienne
Psychothérapie -Psychogénéalogie
Spécialisée TAG/Phobie
Thérapie par Réalité Virtuelle

Anonyme-409158 Psy sur Le Bar-sur-Loup

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13 MAI 2023

Bonjour,

La situation que vit actuellement votre fille est très déstabilisante pour vous et vous aimeriez trouver un moyen de l'aider. Il est possible que sa difficulté à se concentrer et son état amorphe soient un effet secondaire des médicaments. Votre fille semble avoir besoin de repos. Il est important qu'elle comprenne qu'avant de repartir en cours, elle doit se reposer et faire des activités qui lui font du bien. Si, pour l'instant, elle n'arrive pas à communiquer avec une thérapeute, il serait intéressant qu'elle puisse s'exprimer à travers les arts que ce soit par l'écrit, le dessin, la pâte à modeler, la peinture... Quand il est difficile de trouver les mots ou quand on a du mal à se concentrer, faire une activité artistique peut permettre de s'exprimer d'une autre façon. Cela pourrait dans un premier temps la soulager des pensées difficiles qu'elle doit avoir en ce moment. Une fois qu'elle aura l'esprit un peu plus dégagé, elle sera alors en mesure de reprendre une thérapie et de pouvoir parler avec la pédopsychologue. Il serait également intéressant qu'elle puisse se reconnecter avec la nature : peut-être l'emmener dans la forêt ou près d'un lac pourrait l'aider à se ressourcer.

Sa situation est difficile et il doit être très frustrant pour elle de ne pas pouvoir avoir une vie scolaire. Cependant, elle peut quand même faire des activités en dehors afin d'avoir la vie normale qu'elle aimerait retrouver. N'hésitez pas également à inviter ses amies chez vous lorsque c'est possible. Actuellement, votre fille a besoin d'être entourée et de pouvoir s'exprimer d'une autre manière que la parole. Accompagnez là dans ces étapes, soyez à son écoute et rassurez-la, cela lui fera beaucoup de bien.

Je reste à votre écoute,

Gwenaël THING-LEOH
Psychologue interculturelle - Psychothérapeute

Gwenael Thing-Leoh Psy sur Lyon

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13 MAI 2023

Bonjour,

Il faut parler avec le psychiatre qui l’a suit, et voir s’il ne peut pas diminuer les doses ou adapter son traitement de façon à ce qu’elle puisse reprendre une vie normale.

N’hésitez pas à l’amener chez un-e autre psychiatre, pour avoir un autre avis sur la médication.
Ne la laissez pas dans cet état de mal-être.

Et puis, dès qu’elle puisse parler de son état il faut qu’elle puisse bénéficier d’une psychothérapie avec quelqu’un qui a l’habitude de travailler avec ce type de patient et ce type de souffrance : demandez aux médecins de vous orienter vers un-e psy capable de l’accompagner.

Je vous souhaite de pouvoir aider votre fille à continuer sa vie de jeune fille sans plus avoir de problème psychique grave.
sp

Silvia Podani Psy sur Issy-les-Moulineaux

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13 MAI 2023

Bonjour,
Je suis désolé d'apprendre que votre fille traverse une période difficile. Il est important de comprendre que les médicaments psychiatriques peuvent affecter chaque personne différemment et que certains effets secondaires peuvent être difficiles à gérer.

Cela dit, il est important que votre fille continue de prendre ses médicaments, car ils ont été prescrits pour traiter sa condition. Toutefois, si les effets secondaires sont trop difficiles à supporter, il est important d'en parler avec le médecin traitant. Le médecin pourra peut-être ajuster la dose ou changer de médicament pour réduire les effets secondaires.

Il est également important de poursuivre la psychothérapie pour aider votre fille à apprendre à gérer les symptômes et à trouver des stratégies pour mieux faire face au stress. Si la pédopsychologue n'est pas en mesure d'aider votre fille en ce moment en raison de ses symptômes, il pourrait être utile de rechercher un autre thérapeute qui peut mieux travailler avec les symptômes actuels de votre fille.

Enfin, assurez-vous que votre fille se sent soutenue et aimée. Le stress et l'anxiété peuvent être très difficiles à gérer, surtout pour un adolescent qui essaie de naviguer dans la vie. Soyez là pour votre fille et encouragez-la à continuer à travailler avec son équipe de soins pour trouver des solutions qui fonctionnent pour elle.

Lorenzo Perucchi Psy sur Montpellier

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13 MAI 2023

Bonjour Madame, j'entends combien vous vous sentez désarmée et impuissante face à la souffrance que manifeste votre fille. C'est un peu difficile de faire une réponse sans l'avoir rencontrée, mais vu le stress qu'elle manifeste, il se peut qu'elle soit aux prises avec un état de stress post-traumatique, qu'elle ne peut pas réguler même si elle le souhaiterait, puisque son système nerveux réagit par un réflexe de protection par rapport au contexte où se manifeste son stress. Dans état de stress post-traumatique, il est normal que sa volonté n'aie aucune prise.
A mon sens, il serait intéressant de vous diriger vers des approches psycho-corporelles, pour soutenir et aider son système nerveux à se réguler de façon plus naturelle, voir l'avis des thérapeutes qui l'accompagnent actuellement. Vous pouvez visiter mon site pour plus d'information sur les états de stress post-traumatique, et comment les soigner. (les neuro-psycho-thérapies telles que l'EMDR/IMO, le brainspotting, la thérapie Tomatis, l'EFT avec en parallèle une approche telle que la fasciathérapie ou le toucher métamorphique, seraient à expérimenter je pense.
Bien à vous, Anouk Sandrine Chavenon - psychologue, psycho-thérapeute par mouvements oculaires et par le toucher

Sandrine Chavenon Psy sur Loupiac

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13 MAI 2023

Bonjour,

Je me permets de répondre à votre courrier mais avec retenu et délicatesse car il n'est pas possible de se positionner sans en savoir plus.

Est ce que votre fille desire se faire aider par un thérapeute ?

Il y a toujours le moyens d'améliorer une situation, même les plus complexes mais pour cela il est important que la personne veuille participer au travail.

Vous pouvez me contacter pour en discuter plus longuement.

Je reste à votre écoute.

S. Filleul.
Psychanalyste. Rdv sur Crenolib.
Évry Courcouronnes

Sandrine Filleul Psy sur Evry

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